Si on (me permettre) d’accompagner papa à l’auto-école où il assurait l’instruction de premiers secours, (je, rester) au fond de la salle, très attentif, jusqu’à la fin du cours. Même aujourd’hui, tout ce que je connais sur ce sujet, je le dois à papa. Si (je, être) témoin d’un accident, (je, être) capable de tout faire selon les règles qu’il a enseignées. Dans le cas où un accident (se produire) sur mon passage, je (ne pas hésiter) à mobiliser avant tout les autres personnes présentes si elles (ne pas réagir) d'elles-mêmes. En effet, dans un tel cas, il faut faire plusieurs choses en même temps, ce qui est plus facile s’il y (avoir) plusieurs sauveteurs : il faut protéger les victimes et éviter que d’autres accidents ne se produisent, il faut alerter les secouristes et il faut pratiquer des gestes de premiers secours. Si, par exemple, on (trouver) une personne inconsciente, il (falloir) la tourner sur le côté, en position latérale de sécurité, à moins que sa respiration (ne pas troubler) . Au cas où elle (ne pas respirer) , il (falloir) pratiquer la réanimation cardio-pulmonaire afin d'alimenter le cerveau en oxygène. À supposer que vous (détecter) une hémorragie externe sur la personne en détresse, il (falloir) avant tout arrêter l’écoulement de sang. J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour papa. Je crois que si (je, devoir) apprendre tout cela de quelqu’un d’autre, je (le faire) avec moins d’enthousiasme. Mais il est vrai que les techniques de premiers secours (ne pas pouvoir) être bien appris à moins qu’une personne compétente ne nous en (faire) une instruction pratique. Cette personne pour moi a été ma femme. Si mon père (n’être) qu’un simple sapeur-pompier, ma femme, elle (être) médecin.