L'expression du temps (27)

Emploi des temps verbaux - Mettez cette histoire aux temps du passé qui conviennent et faites la concordance des temps si nécessaire.

Tapez (ou copiez-collez) vos réponses dans les trous selon les indications de l'exercice. N'appuyez sur le bouton « vérifier » qu'après avoir saisi toutes les réponses. S'il manque des caractères accentués à votre clavier, vous pouvez les insérer à l'aide des touches apparaissant en bas d'écran.

Au secours !

« Quand nous (sortir) de l’école, mon copain (m'accompagner) chez le fleuriste en mangeant la moitié du petit pain au chocolat qui lui (rester) de la classe de grammaire. Nous (entrer) dans le magasin, (je/mettre) tous mes sous sur le comptoir et (je/dire) à la dame que je (vouloir) un gros bouquet de fleurs pour ma maman. La dame (compter) mes sous et elle (me dire) qu’elle ne (pouvoir) pas me donner beaucoup de fleurs. Comme (je/avoir l’air) un peu embêté, la dame (me regarder) , puis elle (réfléchir) un peu, et elle (me dire) que je (être) un mignon petit garçon. Elle (me donner) des petites tapes sur la tête et puis elle (me dire) qu’elle (aller) arranger ça. La dame (choisir) quelques fleurs et puis elle (mettre) des tas de feuilles vertes. Le bouquet (être) très jolie et très gros, la dame (l’envelopper) dans un papier transparent qui (faire) du bruit. (Je/être) très content avec mon bouquet, quand nous (rencontrer) deux copains de l’école. On (se battre) et puis(je/dire) qu’il (se faire) tard, alors, on (s’arrêter) . Mais (je/devoir) rester encore un peu, parce que l’un de mes camarades (donner) des tas de coups avec mon bouquet et les fleurs (voler) partout parce que le papier (se déchirer) . Quand mon copain (s’arrêter) , (je/avoir) la tête couverte par les feuilles vertes du bouquet. Alors, (je/commencer) à ramasser mes fleurs, et je leur (dire) qu’ils (être) méchants. Puis, je (partir) avec mes fleurs. Il en (manquer) , il n’y (avoir) plus de légumes ni de papier, mais ça (faire) encore un joli bouquet. Et alors, (je/voir) arriver un autre copain sur son vélo. (Je/bien décider) de ne pas me battre, mais, lui, il (commencer) à me taquiner. Alors, je lui (envoyer) les fleurs à la figure, ça (ne pas lui plaire) du tout. Il (jeter) les fleurs dans la rue et elles (tomber) sur le toit d’une voiture qui (passer) et elles (partir) avec la voiture. Mon copain (me promettre) de la rattraper, mais il (revenir) bientôt en me disant qu’il (ne pas pouvoir) rattraper la voiture, mais qu’il me (ramener) une fleur qui (tomber) du toit de la voiture. Je (rentrer) à la maison, avec ma fleur toute chiffonnée. (Je/avoir) comme une grosse boule dans la gorge. (Je/ouvrir) la porte et (je/dire) à maman : « Joyeux anniversaire, maman » et je (se mettre) à pleurer. Maman (regarder) la fleur, elle (avoir) l’air plutôt étonnée, et puis, elle (me prendre) dans ses bras, elle (m'embrasser) et elle (dire) qu’elle (ne jamais recevoir) un aussi beau bouquet et elle (mettre) la fleur dans le grand vase jaune du salon.» (d’après Le chouette bouquet, Sempé-Goscinny : Le petit Nicolas, Éditions Denoël, 1980, p.64-72.)